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Il arrive qu’une influenceuse apporte des éléments parfois assez étonnants. Et cela s’est récemment vu pour une influenceuse, qui a évoqué un aspect très important. En effet, elle refuse que les professeurs de ses enfants soient des hommes, et elle explique tout ceci.
Un métier à part ?
Lorsque l’on évoque l’univers des influenceurs et des influenceuses, il est tout à fait possible de se retrouver dans des situations que l’on comprend pas.
En effet, sachez que c’est un univers assez différent de celui que nous connaissons, notamment en évoquant un train de vie spécifique. Pour cela, sachez que ces personnes sont généralement sujettes à des accessoires et des objets de luxe, que de nombreuses personnes ne peuvent pas se payer.
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Mais ce n’est pas tout, car certaines interventions sont restées dans les mémoires. Que cela soit une influenceuse ou un influenceur, les prises de paroles sont parfois controversées.
Et cela a récemment été le cas pour une influenceuse bien connue de nombreuses personnes. En effet, Cindy Lopes a évoqué son critère pour l’éducation de ses enfants. Et cela a fait grandement parler !
Une influenceuse refuse les professeurs hommes !
C’est une intervention assez spéciale que vient de faire Cindy Lopes. En effet, cette influenceuse a su se faire connaître au travers de sa participation à Secret Story. Une émission de télé-réalité qui a su lancer cet univers en France, et qui a connu un énorme carton !
Mais parfois, le succès n’amène pas spécialement à se faire aimer de tous. Et cette influenceuse en sait quelque chose, car elle a été vivement critiquée suite à sa décision pour ses enfants.
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Pour cela, sachez que Cindy Lopes ne veut pas de professeurs hommes pour ses enfants. Une décision étonnante, qui se comprend sur certains aspects.
Elle a notamment précisé la chose suivante : « J’interdis catégoriquement que mes enfants soient gérés par des hommes, en termes de professeurs. Et si toutefois ça arrivait, je les ferais changer de classe, d’école ou déménager« .
Avant d’ajouter à la suite d’une question, demandant si elle avait été victime de certains actes : « Non. J’ai été en contact avec des gens qui étaient journalistes dans d’autres domaines, et qui ont fait des enquêtes sur ce milieu-là. Et je me suis rendue compte que c’était un milieu qui était très…
On est dans un pays particulier. J’ai été observatrice des choses de la vie, de gens de mon entourage, que j’ai côtoyé, qui me laissent à penser qu’il y a quelques soucis en France ».
Une prise de position étonnante pour certaines personnes, mais qui peut se comprendre !
