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Si l’accident de Pierre Palmade fait tant parler, c’est parce que le comédien a été testé positif aux substances illicites. Un grand débat s’est ouvert dans la société. Certains expliquent que Pierre Palmade est victime de sa maladie, de son addiction. Pour d’autres, c’est un fait aggravant et en aucun cas une excuse qui peut être utilisée pour le déresponsabiliser. Aujourd’hui, c’est l’ancien ministre de la Santé Olivier Véran qui a réagi.
Pierre Palmade à l’hôpital après un accident de voiture
Après plus de 24 heures de fête, Pierre Palmade quitte son domicile avec deux hommes le 10 février dernier. L’acteur conduit sa voiture.
Mais, alors qu’il roule sur une ligne droite, il provoque un accident en rentrant frontalement dans une voiture qui arrive en face de lui. À son bord, un homme, sa sœur enceinte et un petit garçon de six ans.
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Le comédien et tous les autres blessés sont conduits rapidement à l’hôpital. Pierre Palmade reste plusieurs jours en réanimation avant de revenir à lui. La femme enceinte a malheureusement perdu son bébé tandis que l’enfant de six ans va s’en sortir avec de lourdes séquelles.
Enfin, le conducteur du véhicule dans lequel Pierre Palmade est rentré a dû être opéré à de multiples reprises.
Pierre Palmade et ses addictions
Pierre Palmade a parlé à de nombreuses reprises de ses addictions et de son sevrage dans les médias. A l’antenne, il indique toujours vouloir se défaire de son addiction. Il quitte d’ailleurs la capitale pour se tenir à l’écart des soirées et des tensions.
Mais s’il ne peut plus aller aux soirées, il les fait venir chez lui. Le comédien organiserait régulièrement de longues soirées avec des substances illicites.
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Un mode de vie qui désole ses proches et ceux qui travaillent avec lui. Toutes ces personnes sont les victimes collatérales d’une addiction qui ne détruit pas qu’une vie.
Olivier Véran réagit !
Le 14 février dernier, Télématin invite Olivier Véran, le porte-parole du gouvernement. Thomas Sotto l’a questionné sur l’affaire Pierre Palmade. L’occasion pour l’ancien ministre de la Santé de donner son avis tranché.
« Je ne crois pas qu’il y ait une tolérance sociale, sociétale et encore moins politique vis-à-vis de telle ou telle dr*gue sous prétexte que tel ou tel public la consomme plus favorablement« .
« La dr*gue, la c*caïne et les opiacés sont des dr*gues extrêmement dangereuses avec un pouvoir addictif extrêmement puissant et qui conduisent à des drames humains qu’il nous faut éviter par tous les moyens. »
