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Juste avant Noël, la gendarmerie de Maine-et-Loire a partagé un avis de recherche très inquiétant sur son compte Facebook. En effet, les forces de l’ordre ont confié qu’Amélie, une jeune fille, avait fugué de son domicile.
La lettre d’Amélie glace le sang
Sur les réseaux sociaux, la police a annoncé : « Amélie, 14 ans, a fugué depuis le 19 décembre 2022 à Gennes-Val-de-Loire. Si vous avez des renseignements, contactez la communauté de brigades de Longué-Jumelles au 02.41.52.10.31 ».
Avant d’ajouter : « Merci de partager cette publication pour nous aider à la retrouver et rassurer ses proches ». Mais depuis cette annonce, Amélie n’est toujours pas rentrée chez elle.
L’adolescente a décidé de quitter le logement de ses grands-parents maternels. Pour l’instant, aucune trace de la principale intéressée n’a été retrouvée. En revanche, ses proches ont retrouvé une lettre laissée avant son départ.
Dans cette dernière, la jeune fille informe qu’elle a des projets mais elle n’a pas souhaité en dire trop au sujet de son départ qui a déchiré le cœur de ses proches. Pour le Parisien, son papa a dévoilé le contenu de la lettre.
Amélie a écrit : « Si tu le trouves [ce mot] c’est que je suis déjà loin. Je pars pour garder les enfants d’une famille dans un autre pays. Je vais faire des cours à distance et compte réussir ma vie« .
Une disparition inquiétante
Avant d’ajouter : « Je reviendrai sûrement te voir après les vacances ». Mais son papa, Benoît Petit, n’a toujours pas de nouvelles de la jeune fille. Il a d’ailleurs confié qu’il était très inquiet.
« Nous sommes super inquiets. On voit bien tout ce qu’il peut se passer. Une jeune a vite fait de se faire embobiner, elle peut tomber sur une personne mal intentionnée, il y a des réseaux… ».
La maman d’Amélie a aussi révélé à Ouest france : « C’est l’angoisse totale, on se demande à chaque instant où elle est, avec qui elle est, si elle est en sécurité. On ne peut penser à rien d’autre. C’est à devenir fou« .
Le 5 janvier dernier, elle avait aussi avoué à nos confrères : « Elle se confiait très peu à moi. Mais Amélie vivait un mal-être. Elle n’allait vraiment pas bien. Et elle avait des crises d’angoisse. Elle a déjà rencontré une psychologue ».
Avant de préciser aussi : « Depuis le mois d’août, elle vivait chez mes parents à Gennes-Val-de-Loire. Elle était scolarisée au collège. Amélie avait demandé à ne pas retourner vivre chez son père et à vivre chez ses grands-parents, le temps qu’elle aille mieux ».
