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Les JT de TF1 se suivent et ne se ressemblent pas. Souvent appelé en renfort, Gilles Bouleau se remet en question. Et si c’était la fin ?
On a cassé le moule après Gilles Bouleau !
Ami de Buzzly, si on vous disait que Gilles Bouleau s’imaginait plus dans une robe d’avocat que dans un costume de journaliste ? Aussi étrange que cela puisse paraître, sa vocation, la trouver va lui demander un peu plus d’efforts que les autres.
Au début de sa carrière, le service public lui donne sa chance. Sauf qu’au bout d’un moment, la routine s’installe dans son quotidien. Il se rend rapidement à l’évidence. Ce contrat proposé par TF1, il ne peut pas le refuser !
À lire Camille Combal balance sur la face cachée de Gilles Bouleau, cette anecdote surprenante !
Certes, pendant cinq ans, il va être le « joker » de la belle Laurence Ferrari. Au lieu de se lamenter, il voit une occasion d’apprendre les ficelles du journal télévisé. D’ailleurs, en 2011, lorsqu’elle claque la porte, Gilles Bouleau s’accroche à sa bonne étoile.
Donc, pourquoi perdre du temps à recruter et à former quelqu’un ? La direction doit lui confier la baguette de chef d’orchestre !
Depuis plus d’une décennie, Gilles Bouleau rivalise d’ingéniosité pour transmettre l’actualité aux téléspectateurs. Peu importe l’angle ou les événements, il le fait toujours avec le sourire. Et vu l’avalanche de sujets négatifs, il se démarque grâce à son optimisme et sa bienveillance.
En coulisses, il s’entend bien avec le comité de rédaction. Comparé à son mentor le colérique Jean-Pierre Pernaut, il met un point d’honneur à écouter tout le monde.
Ah si seulement les murs pouvaient parler, ils nous en confieraient des anecdotes croustillantes sur la fabrication des reportages. C’est l’évidence, l’équipe technique ou les antennes locales, Gilles Bouleau leur doit une fière chandelle.
Un constat fracassant
En ces temps d’inflation, le salaire est devenu un sujet tabou. Enfin, pas pour Gilles Bouleau. Transparent face à ses confrères du Figaro, il balance du lourd. « Je n’ai pas de pudeur avec l’argent que je gagne, avec les impôts et avec le travail que j’effectue. »
D’ailleurs, un peu sarcastique avec ses détracteurs, Gilles Bouleau adore comparer sa fiche de paie à celle d’un joueur de football de seconde division. « 15 000 euros bruts par mois », c’est moins qu’un goal !
Récemment, sur les ondes de RTL, Gilles Bouleau dresse un bilan assez étonnant. « Le jour où ça s’arrêtera, je dirais : ‘C’est formidable. » Contrairement à certains collègues traumatisés par leurs conditions de départ de TF1, il compte bien tirer sa révérence « dans la joie, la bonne humeur, sans regret et sans aigreur ».
Mi-mai, Gilles Bouleau déroute ses fans. Absent du plateau, il ne prend pas le temps de se justifier sur les réseaux sociaux. Alors, à votre avis, est-ce le moment de transmettre le flambeau ? Le mystère demeure entier !