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Grâce aux réseaux sociaux, de nombreux commerçants n’hésitent pas à libérer la parole sur les choses assez hallucinantes auxquelles ils font face. Une vendeuse en boutique de lingerie a d’ailleurs balancé les expériences qu’elle avait vécues.
Une vendeuse balance sur son horrible expérience
Dans une interview accordée à l’HuffPost, une vendeuse prénommée Léa a fait des confidences au sujet de son travail. Elle a révélé : « Avant de déposer mes CV, je pensais que le métier de vendeuse, ou plus précisément ‘d’hôtesse de vente’, n’était pas bien compliqué ».
Avant de détailler : « Il suffisait de sourire. D’être aimable avec les clientes. Et de leur donner les tailles dont elles avaient besoin. Mais dès mes premiers jours, j’ai compris que ce n’était pas tout à fait ça… ».
Très vite, la vendeuse a remarqué que l’impolitesse était très présente auprès des clients. Elle a alors raconté : « Je me souviens qu’un soir, un peu avant la fermeture du magasin, une cliente est entrée ».
La jeune femme a poursuivi : « Elle s’est dirigée vers la table que j’étais en train de ranger.Et s’est appliquée à déplier presque tous les modèles disposés ».
Elle a alors raconté la suite de cette histoire : « Lorsqu’elle s’est rendu compte que je la regardais faire, elle m’a simplement dit, sur un ton condescendant : ‘Ah mince. Vous allez devoir tout recommencer' ».
« Elle me répond avec dédain »
Une autre fois, la vendeuse a révélé qu’elle pensait qu’une cliente était anglaise car elle n’arrivait pas à dire un simple « bonjour ». Elle a indiqué : « Je tente de lui parler en anglais. Croyant que son absence de réponse vient de la barrière de la langue« .
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Avant d’affirmer : « Mais celle-ci me répond avec dédain : ‘Je parle français' ». Par la suite, elle a indiqué qu’il y avait énormément de pression de la part des responsables dans les boutiques.
L’ancienne vendeuse en lingerie s’est souvenue auprès de l’HuffPost : « Plus les semaines passaient, plus j’étais épuisée. Je suis dynamique et sportive. Mais je n’en pouvais plus ».
Elle a aussi pointé du doigt le besoin des patrons de l’évaluer sur sa compétence à provoquer un achat « coup de coeur ». Léa a souligné : « Être jugées sur des chiffres est injuste. Les chiffres n’ont pas de contexte« .
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Et de conclure : « Ils ne représentent pas la réalité ». En revanche, l’ancienne vendeuse a précisé qu’elle ne gardait pas seulement des mauvais souvenirs de cette période.
Elle a avoué : « En dépit de ces quelques mésaventures, je continuais d’aimer mon job. J’aimais conseiller les clientes, les écouter. Et répondre à leurs attentes ».
