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Des chercheurs australiens de l’Institut Royal de Technologie de Melbourne ont annoncé avoir trouvé un autre moyen de produire de l’électricité. Ils se sont servis de leur recherche sur les nanotechnologies pour aboutir à cette solution. Celle-ci consiste à utiliser une peinture spéciale qui capte l’air et la lumière du jour en vue de les transformer en électricité exploitable. De quoi vous aider à réduire votre prochaine facture et faire face à l’inflation ? On vous donne les détails dans cet article !
Électricité : Orientation vers l’énergie renouvelable !
L’électricité est très utilisée dans la vie de tous les jours. Le confort de vie des foyers dépend énormément d’ailleurs désormais de cette énergie. En plus, avec l’hiver qui approche, c’est une ressource qui va de plus en plus être sollicitée, avec cela les factures vont grimper.
Les techniques de production d’électricité sont nombreuses. En France, cette dernière est produite en grande partie par des centrales nucléaires. Mais il y a également l’EDF qui nous en propose grâce aux énergies fossiles et aux énergies renouvelables.
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De nos jours, les producteurs s’orientent de plus en plus vers la production d’électricité renouvelable. Cela a pour avantages avant tout d’exploiter des ressources inépuisables comme l’air ou le soleil. Mais cela aide aussi à contribuer à la préservation de l’environnement.
A l’Institut Royal de Technologie de Melbourne, des chercheurs ont découvert une nouvelle technique pour produire de l’électricité. Ils ont inventé une peinture spéciale qui sera amenée à produire cette ressource énergétique. Et le point fort dans tout cela c’est que, en plus de fournir du courant, la peinture servira à embellir la maison.
Comment ça marche ?
La peinture productrice d’électricité, mise en place par les chercheurs australiens, a la faculté d’absorber l’humidité de l’air ambiant. Celle-ci est par la suite transformée en hydrogène. Ce dernier peut être utilisé pour l’alimentation des piles à combustible.
A noter que cette peinture est composée de sulfure de molybdène synthétique. Elle a donc la capacité de capter la lumière et de produire de l’électricité, comme le font les panneaux solaires. Pour attirer cette lumière, du dioxyde de titane a été rajoutée à sa composition chimique de base.
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La peinture agit comme un semi-conducteur. Notez que celui-ci a la propriété d’accélérer la décomposition des molécules d’eau en hydrogène et oxygène. La lumière interceptée brise les gouttelettes d’eau tandis que l’on prélève l’hydrogène. De quoi nous fournir l’électricité dont nous avons besoin au quotidien facilement.
Les chercheurs pourront réfléchir à la conception d’appareils électriques qui peuvent s’auto-alimenter en électricité. La peinture pourra par exemple être appliquée directement sur les matériaux. Le courant obtenu servira de source d’alimentation de ce même équipement.
Électricité : Trois ans de patience avant la mise sur le marché
L’équipe en charge de ce projet réalisent encore quelques retouches et tests avant d’en réellement dévoiler les détails. Si celui-ci aboutit convenablement, les premiers produits se verront dans les magasins de bricolage d’ici 03 ans environ. Une autre bonne nouvelle ? Sachez que la peinture sera proposée à un prix compétitif !
En attendant, chacun devra utiliser à sa convenance les moyens de bord disponibles pour se fournir en électricité. Ce qui est sûr, c’est que l’électricité qui sera produite par la peinture « magique » aura un coût moindre par rapport aux dépenses que nous faisons actuellement. Cela va contribuer à l’économie des dépenses liées à la consommation de l’électricité.
